L’activité de « récupérant » est née aprés les événements drammatique de la Grande Guerre. Une guerre mondiale considérée comme un des évènements marquants du XX° siècle. Un jour de mai du 1915 elle touche Cortina d’Ampezzo, un pays Ladin tranquille administré par L’Empire Austro-Hongrois. La malchance de se pays était alors, de confiner avec la frontière italienne, qui avait déclaré la guerre à l’Autriche et envoyé ses soldats à Franchir le seuil de la frontière d’Acquabona. Le 29 mai 1915 Cortina fu occupée par les troupes italiennes.
Les Dolomites d’Ampezzo, pour trois longue année devient pour les deux armées en conflit, un térritoire important de conquête. Les soldats d’Ampezzo qui étaient dans l’armée autrichienne se retrouvent à devoir combattre à quelques kilomètres de leur pays, occupés a partir du 1915 au 1917 par L’arméè italienne, inquietés pour leur familliares sans défènces. Entre leurs ennemis il y a des soldats ialiens qui habitent aux pays voisins de frontière, souvent leurs copains, parents ou connaissances. La mort en guerre, vient considéré parfois une chance, l’ennemi c’est même le froid, la faim, la peur. Pour affronter les combats, souvent aux soldats on donne de la drogue ou on leurs fait boire de la grappe ou rhum en manière qu’ils ne soit pas complètement conscients pour le massacre. Souvent le dernier mot qu’il prononce avant de mourir c’est « Mamman! » , la dernière pensée c’est pour la famille.
En 1918 à la fin de la guerre, Ampezzo est réduit à la misère, certains habitants ne possédent plus rien. Les maisons sont détruits par le feu, les champs endommagés.
Pour le peuple il ne reste que émigrer ou recupérer et vendre le matériel de guerre abandonné. Un travail fatiguant mais nècéssaire pour survivre. En 1937, Rolando Lancedelli est un enfant de dix ans, de famille pauvre, aulieux d’aller à l’école, la grand-mère pour nécéssité l’envoie à récupérer les matériels de guerre, avec les oncles. Ce n’estt pas facile errer sur les montagnes avec les chaussures attachés par du fil de fer et les habits déchirés. Rolando, n’a pas beaucoups de choix, avec un morceau de » polenta » dans sa poche, pour toute la journée et une lourde pioche pour récupérer tout le matériel qu’il peut trouver, il part à la recherche de cartouches, bombes, fil de fer barbelé, cordes d’acier, explosives, poeles, tuyaux, armes, casserole, cuivre, plomb, aluminium. etc… qui sera vendu aux grossistes de metals qui arrivent à Cortina chaque samedi. Ce travail fatiguant pour un enfant lui donne la possibilité de manger quelque chose, surtout pour ce période de misère et dans le même temps il a la possibilité d’apprendre les secrets des récupérants. Comment reconnaître les metals où les lieux pour creuser, décharger les munitions en sicureté et sèparé les différents materiels. L’Etat Italien rétribue même la récuperation des dépouilles abandonnées sur les champs de bataille. trouver un squelette c’est rentable. Rolando se rappelle d’avoir écouté que beaucoups de récupérants pour pouvoir gagner quelques chose dévalisaient les cimetières de guerre pour exhumer les dépouilles.
ce travail de récupérant est trés dangereux a cause des différents explosifs laissés encore intacts, des parcours en montagne où il y a le danger de glisser et tomber dans quelques précipice. Rolando se rappelle, qu’un jour, tandis qu’il cherchait de porter en vallée le matériel trouvé sur la montagne, il avait risqué de tomber dans le vide. il se sauvait pour miracle. Le changement imprévu du temps est une autre cause de danger, il se rappelle qu’une fois il était en train de rentrer avec ses oncles, quand il arrive une violente tempete, ils se réfugiairent sous deux pierres, laissant le matériel trouvé à côté d’un arbre qui attirait un éclair suivi d’un coup de tonnerre, heureusement sans graves conséquances.
Pour Rolando la vie de récupérant finit le 8 septembre 1943, quand les provinces de Bolzano, Trentin et Belluno sont occupés par les allemands. Le jeune garçon vient enrôler par les allemands avec autre personne de son âge de Cortina. Il retourne sauve le 1945 à la fin de la guerre. il se retrouve, pour survivre, a vendre tout le matériel récupéré les années passées. Avec le temps les montagnes sont nettoyés par les récupérants, et Rolando avec l’aide de sa femme Hélène, épouséè en 1952, decide de construire avec ses mains un Ski Bar qu’il ouvre à Cortina. Dans le même temps en 1959 pour augmenter le gain, entreprend le métier d’instructeur de sci. Rolando à été le premier instructeur de sci de fond de Cortina d’Ampezzo. Le 3 Mars du 1953 vient au monde le fils Loris et le Ski-Bar devient un restaurant tipique du territoire.
Pendant le terrassement pour la trasformation du Ski-Bar en chalet, Rolando trouve des étranges pierres et avec l’aide d’un expert de cette matière, Rinaldo Zardini Folòin découvre qu’il se traîte de trés antiques fossiles. Alors Rolando retrouve la passion pour la recherche sur les montagnes, cette fois ce n’est pas pour le matériel de guerre mais pour les fossiles qui raccontent l’histoire antique des Dolomites quand elle était submergé par la mer et riche de vie aquatique transformés avec le temps en fossiles: Les invertébrés marins, les coccolithophorides ( des algues unicellulaires microscopiques), les mollusches incluant les ammonites, les rudistes, les escargots, les ostracdes ( une classe de petits crustacés), céphalopodes, d’échinodermes, brachiopodes, les coreaux …
Les meilleurs retrouvements de Rolando Lancedelli sont exposés dans le musée Paleontologique « Rinaldo Zardini » situé dans « La ciàsa de ra Règoles » ( maison des Règles) de Cortina. Entre ses retrouvements exposés il y a un exemplaire unique de méaglodonte de 62 cm, avec un poid de 60 kg!
Le prof. Alassinaz de l’université de Milan donne à un de ses exemplaires retrouvé, le nom de « Dicercardium Lancedelli » en honneur de Rolando.
Les recherches continuent et Rolando décide de porter avec lui son fils Loris de l’âge de six ans. Sous ses yeux emmerveillés, la découverte de ce nouveau monde de recherche pour lui, enfant, devient tout de suite passion. Les térritoires de recherche sont les mêmes parcours, fait il y a trente ans, par rolando comme récupérant de guerre. Tandis que son père cherche les fossiles sur les roches, Loris qui aime ècouter les histoires de la guerre et de récupérant racconté par son père, avec enthousiasme et curiosité cherche quelques pièces de guerre et chaque fois qu’il trouve des pièces c’est pour lui une grande émotion de joie.
Année aprés année l’enfant devient garçon et les pièces de guerre récupérés devient toujours plus nombreux et importants pour lui, parceque chaque pièce racconte un morceau d’histoire, fait penser à la vie terrible des soldats en combattement, le courage de défendre leur patrie et la peur de mourir. Chaques objets retrouvé a un valeur humain et historique inestimable.
Loris déjà adulte, est devenu collectionneur et expert historique, sa collection toujours plus nombreuse, comprends la plupart des materiels usés en guerre et cartes, cartes postales, fotographies, journal de guerre et lettres émouvantes de soldats qui raccontent leur expérience pendant la guerre, défoi amusant et autre fois térrible . Quotidiens et revues, matériel personel usé par les soldats sur le front italien et autrichien. Témoignage d’anciens combattants de la Grande Guerre…
En 1964, après 11 ans la naissance de Loris, Rolando et Hélène ont un autre fils, Graziano, qui s’unirà avec le temps à la recherche avec sa famille. un travail fatiguant, surtout pour Hélène qui suit son mari et ses fils dans leur recherche, en portant au dos des paniers chargés de materiels lourds. C’est elle qui trouve le squelette d’un soldat italien et son coeur de mère explose de compassion.
Toute ses années de recherche et de nombreux retrouvements avec sa famille, donne , en 1970, à Loris l’idée d’ouvrir un muséè pour garder ces pièces uniques et rares et offrire aux personnes la possibilités de voir et connaitre l’histoire de la Grande Guerre du 1914- 1918 de ses térritoires. Les difficultés commencent par les gents du lieu, qui ont souffert, le douleur est encore tros grand, surtout pour les anciens de Cortina. L’idée d’exalter l’occupation de l’Italie à Cortina, c’est dur aprés 4 siècles avec l’Empire Habsbourgs, ils n’ont pas oublier les abus subient par les italiens pendant le période d’occupation et aprés la fin de la guerre.
Malgré les difficultés, Loris lancedelli, cherche l’aide des politiques qui fréquentent Cortina, sans succès, il commence alors à organiser 20 expositions provisoire utilisant le materiel de famille, un grand succès de publique et d’expert. La première exposition à été realisé en 1988 avec 53.000 visiteurs. Ce succés porte à l’arragement et ouverture des parcours historiques militaires des 5 Torri et Lagazuoi.
2020 Ⓒ Museo della Grande Guerra "Tre Sassi" Cortina d'Ampezzo